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L'adolescente fugueuse du camping d'Elne a été séquestrée et violée
AFP/Archives
L'adolescente de 14 ans qui avait fugué d'un camping fin août a vécu l'enfer de la séquestration et du viol, à Toulouse, et la fin heureuse annoncée initialement par la justice n'était qu'une fausse piste pour retrouver ses agresseurs, a révélé jeudi La Dépêche du Midi.
L'adolescente de 14 ans qui avait fugué d'un camping fin août a vécu l'enfer de la séquestration et du viol, à Toulouse, et la fin heureuse annoncée initialement par la justice n'était qu'une fausse piste pour retrouver ses agresseurs, a révélé jeudi La Dépêche du Midi.
Le procureur de la République de Toulouse Michel Valet a convoqué une conférence de presse jeudi à 16h30. Interrogé par l'AFP, il s'est contenté de dire qu'une instruction avait été ouverte.
Selon le journal, la fugue a tourné au "calvaire" quand la jeune fille a accepté l'invitation de deux hommes à monter dans une voiture, dès son arrivée à Toulouse, "sans se méfier, avec l'innocence de ses 14 ans. Durant cinq jours, ses agresseurs présumés vont la séquestrer et abuser d'elle".
"Mardi et mercredi, précise le journal, trois personnes ont été interpellées à Toulouse et Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes) par les gendarmes de la section recherche de Toulouse (...). Deux hommes d'origine turque et une femme ont été placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête ouverte pour viols sur mineure".
Au lendemain de son départ du camping d'Elne (Pyrénées-Orientales), où elle séjournait avec ses grands-parents et sa petite soeur, la jeune fille a été conduite à Toulouse le 20 août par un homme de 30 ans avec qui elle avait sympathisé pendant ses vacances et avec qui elle passera sa première nuit de fugue.
Lorsqu'elle est retrouvée le 25 août à Toulouse, les enquêteurs et le parquet, afin de tromper les coupables, offriront une version des faits rassurante: l'adolescente n'a pas fait de mauvaise rencontre, elle a été aidée et vêtue par des prostituées avant d'être signalée par un habitant du quartier où elle errait.
"Les faits ont été volontairement maintenus secrets, pour protéger à la fois la jeune fille, déjà perturbée à la suite de la mort de son père et en état de choc après le calvaire subi (...). Pour mener à bien leurs investigations et ne pas éveiller les soupçons des présumés violeurs, il fallait rapidement livrer de toutes pièces le récit d'une aventure qui se termine bien", explique le quotidien toulousain.
"Les viols se seraient produits dans une voiture et dans un hôtel du centre-ville avec la complicité d'une femme qui fréquenterait les milieux de la prostitution (...). Des zones d'ombres subsistent encore sur l'enchaînement des faits. Comment, a-t-elle réellement fui ?", s'interroge La Dépêche du Midi.
En apprenant l'information jeudi matin, le grand-père, qui élève la jeune fille, s'est dit sur Europe 1 "très en colère" de ne pas avoir été mis au courant, tout en saluant le "travail considérable" des enquêteurs de la gendarmerie.
Après un passage en structure d'accueil pour mineurs à Perpignan, l'adolescente est repartie la semaine dernière, avec ses grand-parents, dans le Pas-de-Calais pour y faire sa rentrée scolaire et le juge des enfants de Perpignan a transmis le dossier à son homologue d'Arras, a précisé de son côté le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dréno.
M. Dréno expliquait fin août qu'elle se trouvait dans une "grande détresse psychologique". Au-delà de la crise d'adolescence, il rappelait qu'elle était marquée par la mort de son père, en 2007. En outre, une longue hospitalisation de sa mère a conduit à son placement chez ses grands-parents maternels.
L'adolescente de 14 ans qui avait fugué d'un camping fin août a vécu l'enfer de la séquestration et du viol, à Toulouse, et la fin heureuse annoncée initialement par la justice n'était qu'une fausse piste pour retrouver ses agresseurs, a révélé jeudi La Dépêche du Midi.
L'adolescente de 14 ans qui avait fugué d'un camping fin août a vécu l'enfer de la séquestration et du viol, à Toulouse, et la fin heureuse annoncée initialement par la justice n'était qu'une fausse piste pour retrouver ses agresseurs, a révélé jeudi La Dépêche du Midi.
Le procureur de la République de Toulouse Michel Valet a convoqué une conférence de presse jeudi à 16h30. Interrogé par l'AFP, il s'est contenté de dire qu'une instruction avait été ouverte.
Selon le journal, la fugue a tourné au "calvaire" quand la jeune fille a accepté l'invitation de deux hommes à monter dans une voiture, dès son arrivée à Toulouse, "sans se méfier, avec l'innocence de ses 14 ans. Durant cinq jours, ses agresseurs présumés vont la séquestrer et abuser d'elle".
"Mardi et mercredi, précise le journal, trois personnes ont été interpellées à Toulouse et Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes) par les gendarmes de la section recherche de Toulouse (...). Deux hommes d'origine turque et une femme ont été placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête ouverte pour viols sur mineure".
Au lendemain de son départ du camping d'Elne (Pyrénées-Orientales), où elle séjournait avec ses grands-parents et sa petite soeur, la jeune fille a été conduite à Toulouse le 20 août par un homme de 30 ans avec qui elle avait sympathisé pendant ses vacances et avec qui elle passera sa première nuit de fugue.
Lorsqu'elle est retrouvée le 25 août à Toulouse, les enquêteurs et le parquet, afin de tromper les coupables, offriront une version des faits rassurante: l'adolescente n'a pas fait de mauvaise rencontre, elle a été aidée et vêtue par des prostituées avant d'être signalée par un habitant du quartier où elle errait.
"Les faits ont été volontairement maintenus secrets, pour protéger à la fois la jeune fille, déjà perturbée à la suite de la mort de son père et en état de choc après le calvaire subi (...). Pour mener à bien leurs investigations et ne pas éveiller les soupçons des présumés violeurs, il fallait rapidement livrer de toutes pièces le récit d'une aventure qui se termine bien", explique le quotidien toulousain.
"Les viols se seraient produits dans une voiture et dans un hôtel du centre-ville avec la complicité d'une femme qui fréquenterait les milieux de la prostitution (...). Des zones d'ombres subsistent encore sur l'enchaînement des faits. Comment, a-t-elle réellement fui ?", s'interroge La Dépêche du Midi.
En apprenant l'information jeudi matin, le grand-père, qui élève la jeune fille, s'est dit sur Europe 1 "très en colère" de ne pas avoir été mis au courant, tout en saluant le "travail considérable" des enquêteurs de la gendarmerie.
Après un passage en structure d'accueil pour mineurs à Perpignan, l'adolescente est repartie la semaine dernière, avec ses grand-parents, dans le Pas-de-Calais pour y faire sa rentrée scolaire et le juge des enfants de Perpignan a transmis le dossier à son homologue d'Arras, a précisé de son côté le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dréno.
M. Dréno expliquait fin août qu'elle se trouvait dans une "grande détresse psychologique". Au-delà de la crise d'adolescence, il rappelait qu'elle était marquée par la mort de son père, en 2007. En outre, une longue hospitalisation de sa mère a conduit à son placement chez ses grands-parents maternels.
Re: actualités du jour
je viens d apprendre que au mans a st saturnin au mac do ou taf bounty une gamine ses fait enlevée ou disparue hier soir
fille de 8 ans et des patrouille sont a sa recherche .
sa fou trop les boules donc a toutes faite attention a vos enfants
fille de 8 ans et des patrouille sont a sa recherche .
sa fou trop les boules donc a toutes faite attention a vos enfants
Re: actualités du jour
oui vrai et tal il cherchais partout ds les buissons
mumu- BILOUTE
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Date d'inscription : 16/07/2008
Re: actualités du jour
oui et ils étaient pas mal pleins de voiture et de camions
et y avez meme les journaliste
et y avez meme les journaliste
Re: actualités du jour
sa y es la petite fille de 8 ans a était retrouvée mais morte depuis 10 jours
son père a inventer toute cette mascarade
la petite a était retrouver dans un contenaire dans l entreprise ou il travailler et le père et la mère sont a garde a vue
son père a inventer toute cette mascarade
la petite a était retrouver dans un contenaire dans l entreprise ou il travailler et le père et la mère sont a garde a vue
Re: actualités du jour
et oui le salopard on à eu les flics pendants deux jours consécutif ils ont tout fouiller meme au mac do les vestiaires et les voitures des employés et ont aussi fouiller dans les caves ou il y a toute la tuyauterie et le pere qui hurlai que sa fille avait ete enlever on devrait lui mettre la peine de mort !!!!!!!!
Invité- Invité
Les parents de la petite Marina incarcérés, l'autopsie en cours
Les parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi au Mans après que le père eut monté de toutes pièces l'histoire de sa disparition, ont été mis en examen samedi pour homicide volontaire, séquestration et pour des maltraitances qu'ils lui infligeaient depuis des mois.
AFP
Les parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi au Mans après que le père eut monté de toutes pièces l'histoire de sa disparition, ont été mis en examen samedi pour homicide volontaire, séquestration et pour des maltraitances qu'ils lui infligeaient depuis des mois.
Les parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi au Mans après que le père eut monté de toutes pièces l'histoire de sa disparition, ont été mis en examen samedi pour homicide volontaire, séquestration et pour des maltraitances qu'ils lui infligeaient depuis des mois.
Les deux parents, mis en cause à part égale, risquent la réclusion criminelle à perpétuité, a expliqué samedi la procureure adjointe de la République du Mans, Chantal Moulin-Bernard.
Le parquet a demandé leur incarcération.
La fillette de 8 ans, que le père avait déclarée mystérieusement disparue mercredi sur le parking d'un restaurant Mc Donald's de la périphérie nord du Mans, subissait des violences depuis "de nombreux mois", d'où une mise en examen également pour violences habituelles sur mineur de 15 ans par ascendant.
Au début du mois d'août, la fillette "a subi une scène de violence, puis a été placée dans la cave" du domicile familial, un pavillon dans lequel ils s'étaient installés récemment, à Ecommoy (Sarthe), a expliqué Mme Moulin-Bernard.
Elle aurait reçu lors de cette scène principalement des coups "à la main". La magistrate, qui n'a pas voulu entrer dans les détails, a également évoqué "des actes particulièrement brutaux". La mère dit l'avoir retrouvée ensuite "inanimée".
Les parents ont ensuite cherché à dissimuler son corps et ont expliqué aux quatre autres enfants de la famille, placés depuis vendredi matin et qui n'ont pas été témoins de la scène, que leur soeur "était partie à la mer". Le couple a aussi été mis en examen pour "dénonciation imaginaire".
Les parents ont reconnu les faits au cours de la garde à vue, confrontés aux investigations des enquêteurs qui contredisaient leurs dires. Le père avait notamment avancé la thèse d'une "mort naturelle" sous le coup de la "panique". Ils ont également reconnu les maltraitances récurrentes, qu'ils ont parfois expliqué par le fait que "Marine avait souvent faim".
Le corps de la fillette a été placé dans un congélateur de la cave du domicile, puis dans un conteneur "dans lequel le père a coulé plusieurs kilos de béton", situé dans un entrepôt de la banlieue du Mans où il travaillait.
L'autopsie pratiquée vendredi ne permet pas pour l'instant de dire de quoi exactement est morte Marina, car les médecins légistes ont reporté leurs conclusions dans l'attente d'autres expertises.
La procureure adjointe a souligné samedi que le parquet du Mans n'avait été mis au courant que d'"un seul signalement de maltraitance" en juin 2008. "A ce moment-là, cela c'est avéré négatif", c'est-à-dire qu'il n'y a eu aucune suite.
Plusieurs témoignages recueillis sur place, dont celui du directeur d'école et du maire d'une commune où la famille résidait avant de s'installer à Ecommoy, ont fait état d'une petite fille venant à l'école avec des hématomes et prenant le goûter de ses camarades sous le coup de la faim.
Mercredi soir, le père, accompagné de son fils de 10 ans, avait donné l'alerte expliquant que sa fille s'était volatilisée le temps d'aller chercher des repas. Un vaste dispositif de recherches, avec près de 150 gendarmes, avait alors été mis en place.
AFP
Les parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi au Mans après que le père eut monté de toutes pièces l'histoire de sa disparition, ont été mis en examen samedi pour homicide volontaire, séquestration et pour des maltraitances qu'ils lui infligeaient depuis des mois.
Les parents de la petite Marina, retrouvée morte vendredi au Mans après que le père eut monté de toutes pièces l'histoire de sa disparition, ont été mis en examen samedi pour homicide volontaire, séquestration et pour des maltraitances qu'ils lui infligeaient depuis des mois.
Les deux parents, mis en cause à part égale, risquent la réclusion criminelle à perpétuité, a expliqué samedi la procureure adjointe de la République du Mans, Chantal Moulin-Bernard.
Le parquet a demandé leur incarcération.
La fillette de 8 ans, que le père avait déclarée mystérieusement disparue mercredi sur le parking d'un restaurant Mc Donald's de la périphérie nord du Mans, subissait des violences depuis "de nombreux mois", d'où une mise en examen également pour violences habituelles sur mineur de 15 ans par ascendant.
Au début du mois d'août, la fillette "a subi une scène de violence, puis a été placée dans la cave" du domicile familial, un pavillon dans lequel ils s'étaient installés récemment, à Ecommoy (Sarthe), a expliqué Mme Moulin-Bernard.
Elle aurait reçu lors de cette scène principalement des coups "à la main". La magistrate, qui n'a pas voulu entrer dans les détails, a également évoqué "des actes particulièrement brutaux". La mère dit l'avoir retrouvée ensuite "inanimée".
Les parents ont ensuite cherché à dissimuler son corps et ont expliqué aux quatre autres enfants de la famille, placés depuis vendredi matin et qui n'ont pas été témoins de la scène, que leur soeur "était partie à la mer". Le couple a aussi été mis en examen pour "dénonciation imaginaire".
Les parents ont reconnu les faits au cours de la garde à vue, confrontés aux investigations des enquêteurs qui contredisaient leurs dires. Le père avait notamment avancé la thèse d'une "mort naturelle" sous le coup de la "panique". Ils ont également reconnu les maltraitances récurrentes, qu'ils ont parfois expliqué par le fait que "Marine avait souvent faim".
Le corps de la fillette a été placé dans un congélateur de la cave du domicile, puis dans un conteneur "dans lequel le père a coulé plusieurs kilos de béton", situé dans un entrepôt de la banlieue du Mans où il travaillait.
L'autopsie pratiquée vendredi ne permet pas pour l'instant de dire de quoi exactement est morte Marina, car les médecins légistes ont reporté leurs conclusions dans l'attente d'autres expertises.
La procureure adjointe a souligné samedi que le parquet du Mans n'avait été mis au courant que d'"un seul signalement de maltraitance" en juin 2008. "A ce moment-là, cela c'est avéré négatif", c'est-à-dire qu'il n'y a eu aucune suite.
Plusieurs témoignages recueillis sur place, dont celui du directeur d'école et du maire d'une commune où la famille résidait avant de s'installer à Ecommoy, ont fait état d'une petite fille venant à l'école avec des hématomes et prenant le goûter de ses camarades sous le coup de la faim.
Mercredi soir, le père, accompagné de son fils de 10 ans, avait donné l'alerte expliquant que sa fille s'était volatilisée le temps d'aller chercher des repas. Un vaste dispositif de recherches, avec près de 150 gendarmes, avait alors été mis en place.
Patrick Swayze : Décès du héros de Dirty Dancing et Ghost
Lundi 14 septembre 2009, l'acteur Patrick Swayze est décédé à 57 ans des suites de son cancer du pancréas. Il avait débuté sa carrière à la télévision mais avait surtout connu la gloire avec ses rôles dans les films Dirty Dancing, Ghost et Point Break.
Le record français de l'Euro Millions pulvérisé
Le gagnant, qui dispose de soixante jours pour se faire connaître de la Française des Jeux, est particulièrement chanceux puisqu'il n'avait qu'une chance sur 76.275.360 de cocher les sept bons numéros.
Un joueur des Bouches-du-Rhône a gagné la somme de 100 millions d'euros, record absolu des gains à l'Euro Millions. L'identité du gagnant reste inconnue.
C'est l'équivalent de 83 siècles de Smic, presque le prix de deux Airbus A-320 mais plus que le montant du transfert du footballeur portugais Cristiano Ronaldo au Real de Madrid: un joueur des Bouches-du-Rhône a gagné la somme fabuleuse de 100 millions d'euros.
Après ses vérifications, le gagnant et son bulletin précieusement serré dans son portefeuille, seront accueillis à Paris par une limousine avec chauffeur. Ils dîneront dans un grand restaurant et dormiront dans un palace aux frais de la FDJ.
Le lendemain, le gagnant recevra son chèque en petit comité et hors caméra. Comme pour tous les gros gagnants, ce chèque sera accompagné du "passeport gagnant" pour "bien commencer sa nouvelle vie" où il pourra écrire son nom, coller sa photo et inscrire le montant de son gain.
Un joueur des Bouches-du-Rhône a gagné la somme de 100 millions d'euros, record absolu des gains à l'Euro Millions. L'identité du gagnant reste inconnue.
C'est l'équivalent de 83 siècles de Smic, presque le prix de deux Airbus A-320 mais plus que le montant du transfert du footballeur portugais Cristiano Ronaldo au Real de Madrid: un joueur des Bouches-du-Rhône a gagné la somme fabuleuse de 100 millions d'euros.
Après ses vérifications, le gagnant et son bulletin précieusement serré dans son portefeuille, seront accueillis à Paris par une limousine avec chauffeur. Ils dîneront dans un grand restaurant et dormiront dans un palace aux frais de la FDJ.
Le lendemain, le gagnant recevra son chèque en petit comité et hors caméra. Comme pour tous les gros gagnants, ce chèque sera accompagné du "passeport gagnant" pour "bien commencer sa nouvelle vie" où il pourra écrire son nom, coller sa photo et inscrire le montant de son gain.
Re: actualités du jour
qui sais les fille ya commum une chance ds la vie ou en peu gagne arrete d'etre pesimiste
ouassila- COPINE
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Date d'inscription : 27/08/2009
"Pas d'échange" entre Reiss et un détenu iranien en France assure Sarkozy
AFP/Archives
Le président Nicolas Sarkozy a assuré mercredi qu'"il n'y aura pas d'échange" entre l'universitaire française Clotilde Reiss retenue en Iran et un Iranien condamné en France, estimant que la suggestion de son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad était "du chantage".
Le président Nicolas Sarkozy a assuré mercredi qu'"il n'y aura pas d'échange" entre l'universitaire française Clotilde Reiss retenue en Iran et un Iranien condamné en France, qualifiant la suggestion de son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad de "chantage".
"Il n'y aura pas d'échange et le président iranien le sait bien", a-t-il dit dans une interview accordée à New York à France 2 et TF1.
"C'est du chantage (...) Est-ce que vous croyez que je suis un homme à aller échanger l'assassin de Chapour Bakhtiar contre une jeune étudiante dont le seul crime est de parler la langue de l'Iran et d'aimer la civilisation perse?"
"Clotilde Reiss est une jeune femme de 22 ans qui est innocente. Tout le monde le sait. Elle est aujourd'hui à l'ambassade de france à Téhéran et n'en sortira pas. Elle doit être libérée, elle doit pouvoir rentrer dans son pays", a-t-il dit.
La lectrice, arrêtée le 1er juillet pour avoir participé à des manifestations à Ispahan, a été libérée mi-août à condition de rester à l'ambassade de France, dans l'attente de son jugement.
Mahmoud Ahmadinejad avait réclamé ouvertement mardi dans une interview à France 2 la libération de plusieurs Iraniens "en prison en France depuis des années".
"Des prisonniers qui, eux aussi, ont un père, une mère", avait-il fait valoir. Interrogé ensuite sur une éventuelle grâce en faveur de Clotilde Reiss, il a remarqué : "Malheureusement nous n'avons vu aucune action du gouvernement français en faveur de ces prisonniers".
Selon plusieurs sources, le président de la République islamique faisait notamment allusion à Ali Vakili Rad, condamné en 1994 à Paris pour l'assassinat de l'ex-Premier ministre iranien Chapour Bakhtiar.
Nicolas Sarkozy a rappelé que cet homme a déjà purgé 18 ans de prison en France. "Si la justice estime, dans les mois ou les années qui viennent, selon la procédure normale, qu'il y a lieu de le libérer parce que sa peine aurait été accomplie, c'est le problème de la justice, ce n'est pas le mien". "Nous sommes dans un pays d'état de droit", a-t-il souligné.
Nicolas Sarkozy a enfin répondu aux attaques de son homologue iranien qui, reprenant quasiment mot pour mot ses critiques de l'équipe dirigeante iranienne, avait déclaré la veille que "le peuple français mérite mieux que ses dirigeants actuels". Ahmadinejad avait ajouté que le président français "s'ingère dans les affaires de notre nation".
"Ce n'est pas moi qui ai organisé les manifestations qui contestaient l'élection de M. Ahmadinejad. J'ajoute que le président d'un grand pays --parce que l'Iran est un grand pays--, qui dit qu'il faut rayer Israël de la carte, on peut l'accepter? On peut accepter une monstruosité pareille?", s'est-il exclamé.
Les déclarations du président iranien "montrent bien combien le pouvoir iranien d'aujourd'hui est fragilisé", a observé Nicolas Sarkozy
Sida: un vaccin expérimental redonne de l'espoir aux scientifiques
AFP/Archives
Des chercheurs américains et thaïlandais ont annoncé jeudi avoir mis au point un vaccin expérimental qui réduit d'un tiers les risques de contamination par le virus du sida, au terme d'une étude portant sur 16.000 personnes qui redonne de l'espoir aux scientifiques.
Des chercheurs américains et thaïlandais ont annoncé jeudi avoir mis au point un vaccin expérimental qui réduit d'un tiers les risques de contamination par le virus du sida, au terme d'une étude portant sur 16.000 personnes qui redonne de l'espoir aux scientifiques.
L'opération, présentée comme la plus importante jamais effectuée pour un vaccin contre le sida dans le monde, a été conduite par le ministère thaïlandais de la Santé et l'armée américaine.
Si elle ne constitue qu'un petit pas vers la production d'un vaccin réellement efficace, elle redonne le moral à une communauté scientifique qui doutait de ses capacités à parvenir à ses fins depuis l'échec, en 2007, des essais du laboratoire américain Merck.
"C'est la première démonstration qu'un vaccin contre le virus HIV peut protéger d'une contamination", s'est réjouit dans une vidéo-conférence le colonel de l'armée américaine Jérôme Kim.
"C'est une avancée scientifique très importante et cela nous donne de l'espoir qu'un vaccin efficace dans le monde entier soit possible à l'avenir".
Le vaccin est une combinaison de deux produits testés précédemment mais qui ne s'étaient pas révélés efficaces indépendamment l'un de l'autre. Il s'agit du vaccin ALVAC du laboratoire français Sanofi-Aventis, et de l'AIDSVAX produit par l'Américain VaxGen, cédé depuis à l'organisation Global Solutions for Infectious Diseases.
Les scientifiques doivent notamment comprendre pourquoi le mélange des deux s'est révélé efficace.
L'expérience a été menée depuis octobre 2003 dans deux provinces thaïlandaises sur 16.400 volontaires -- tous séronégatifs et âgés entre 18 et 30 ans -- dont l'exposition au risque de contamination était jugée similaire à la moyenne.
La moitié ont reçu des produits actifs, l'autre moitié des placebos. 51 des 8.197 individus vaccinés ont été contaminés par le virus, contre 74 pour ceux qui n'ont pas été traités.
Le sida, ou syndrome de l'immunodéficience acquise, dont le virus VIH a été identifié il y a 25 ans, est provoqué par une infection virale qui attaque le système immunitaire. Il a tué au moins 25 millions de personnes dans le monde. 33 millions de personnes sont actuellement contaminées par le virus HIV ou par le sida.
Une trentaine de vaccins sont à l'étude sur la planète. Mais en 2007, les espoirs de voir aboutir un quart de siècle de recherche avaient été réduits à néant.
Des essais cliniques du laboratoire américain Merck, lancés à grande échelle en particulier en Afrique du Sud, pays comptant le plus grand nombre de séropositifs au monde, avaient été interrompus après que les injections se furent avérées inefficaces.
Jeudi, les premières réactions laissaient transparaître un certain espoir.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Onusida ont évoqué leur "optimisme". Mais "beaucoup de travail reste à faire", ont-elles averti en soulignant qu'il restait notamment à déterminer la durée de la protection et si le vaccin était efficace sur d'autres sous-types du VIH.
Sanofi Pasteur a estimé que l'étude constituait une "première démonstration concrète" qu'un vaccin pouvait "un jour devenir une réalité".
"Bien que modeste, la réduction du risque d?infection par le VIH est statistiquement significative", a souligné Michel DeWilde, Senior Vice-Président recherche et développement de Sanofi-Pasteur
A New York, l'organisation International AIDS Vaccine Initiative (IAVI) a salué de son côté un "résultat scientifique significatif".
"C'est la première fois qu'un projet de vaccin est efficace sur des humains. Jusqu'à maintenant, nous n'avions de preuve d'une faisabilité que sur des animaux", a indiqué le président de l'IAVI, Seth Berkley.
Des chercheurs américains et thaïlandais ont annoncé jeudi avoir mis au point un vaccin expérimental qui réduit d'un tiers les risques de contamination par le virus du sida, au terme d'une étude portant sur 16.000 personnes qui redonne de l'espoir aux scientifiques.
Des chercheurs américains et thaïlandais ont annoncé jeudi avoir mis au point un vaccin expérimental qui réduit d'un tiers les risques de contamination par le virus du sida, au terme d'une étude portant sur 16.000 personnes qui redonne de l'espoir aux scientifiques.
L'opération, présentée comme la plus importante jamais effectuée pour un vaccin contre le sida dans le monde, a été conduite par le ministère thaïlandais de la Santé et l'armée américaine.
Si elle ne constitue qu'un petit pas vers la production d'un vaccin réellement efficace, elle redonne le moral à une communauté scientifique qui doutait de ses capacités à parvenir à ses fins depuis l'échec, en 2007, des essais du laboratoire américain Merck.
"C'est la première démonstration qu'un vaccin contre le virus HIV peut protéger d'une contamination", s'est réjouit dans une vidéo-conférence le colonel de l'armée américaine Jérôme Kim.
"C'est une avancée scientifique très importante et cela nous donne de l'espoir qu'un vaccin efficace dans le monde entier soit possible à l'avenir".
Le vaccin est une combinaison de deux produits testés précédemment mais qui ne s'étaient pas révélés efficaces indépendamment l'un de l'autre. Il s'agit du vaccin ALVAC du laboratoire français Sanofi-Aventis, et de l'AIDSVAX produit par l'Américain VaxGen, cédé depuis à l'organisation Global Solutions for Infectious Diseases.
Les scientifiques doivent notamment comprendre pourquoi le mélange des deux s'est révélé efficace.
L'expérience a été menée depuis octobre 2003 dans deux provinces thaïlandaises sur 16.400 volontaires -- tous séronégatifs et âgés entre 18 et 30 ans -- dont l'exposition au risque de contamination était jugée similaire à la moyenne.
La moitié ont reçu des produits actifs, l'autre moitié des placebos. 51 des 8.197 individus vaccinés ont été contaminés par le virus, contre 74 pour ceux qui n'ont pas été traités.
Le sida, ou syndrome de l'immunodéficience acquise, dont le virus VIH a été identifié il y a 25 ans, est provoqué par une infection virale qui attaque le système immunitaire. Il a tué au moins 25 millions de personnes dans le monde. 33 millions de personnes sont actuellement contaminées par le virus HIV ou par le sida.
Une trentaine de vaccins sont à l'étude sur la planète. Mais en 2007, les espoirs de voir aboutir un quart de siècle de recherche avaient été réduits à néant.
Des essais cliniques du laboratoire américain Merck, lancés à grande échelle en particulier en Afrique du Sud, pays comptant le plus grand nombre de séropositifs au monde, avaient été interrompus après que les injections se furent avérées inefficaces.
Jeudi, les premières réactions laissaient transparaître un certain espoir.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Onusida ont évoqué leur "optimisme". Mais "beaucoup de travail reste à faire", ont-elles averti en soulignant qu'il restait notamment à déterminer la durée de la protection et si le vaccin était efficace sur d'autres sous-types du VIH.
Sanofi Pasteur a estimé que l'étude constituait une "première démonstration concrète" qu'un vaccin pouvait "un jour devenir une réalité".
"Bien que modeste, la réduction du risque d?infection par le VIH est statistiquement significative", a souligné Michel DeWilde, Senior Vice-Président recherche et développement de Sanofi-Pasteur
A New York, l'organisation International AIDS Vaccine Initiative (IAVI) a salué de son côté un "résultat scientifique significatif".
"C'est la première fois qu'un projet de vaccin est efficace sur des humains. Jusqu'à maintenant, nous n'avions de preuve d'une faisabilité que sur des animaux", a indiqué le président de l'IAVI, Seth Berkley.
Re: actualités du jour
vous avez entendu la loi qui est passé dans certains pays pour interdire la fessée
que sdes conneries et dire que la france est en train de négocier cette loi
que sdes conneries et dire que la france est en train de négocier cette loi
Re: actualités du jour
comme ca les enfants pourront faire tt ce qu ils veulent !!!!!!!!!!!!! pfffffffffffffffff
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
c'est kler c'est n'importe koi
ils vont se croirent tous permis et bien en profitez
et ça etre encore plus la merde
j'espère sincèrement ke ça ne passera ^pas a l'assemblée
ils vont se croirent tous permis et bien en profitez
et ça etre encore plus la merde
j'espère sincèrement ke ça ne passera ^pas a l'assemblée
tatou- BILOUTE
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