la région de la kabylie.
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Re: la région de la kabylie.
ça a l'air super beau, et j'adore la montagne ,la mer la chaleur le désert les zouks
tatou- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
je vois que la région de kabylie non plus (pas interressée)
ben alors les filles un petit effort? :834117:
ben alors les filles un petit effort? :834117:
tatou- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
super beau
mumu- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
magnifique le port de beejaia
j'aimerais bien y aller trops beau
j'aimerais bien y aller trops beau
tatou- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
inchallah et sa oute pas cher le voyage pour et allez comme pour le maroc
ouassila- COPINE
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tatou- BILOUTE
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tatou- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
c'est akbou en hiver magnifique
tatou- BILOUTE
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tatou- BILOUTE
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Re: la région de la kabylie.
ecole primaire mouloud keraoun a akbou
tatou- BILOUTE
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Date d'inscription : 02/02/2009
Re: la région de la kabylie.
Ville de l'intérieur du pays, Akbou est situé au centre-est à 200 km d'Alger et à 70 km du port de Béjaïa dont elle dépend, traversée aujourd'hui par la route nationale n° 26 en pleine réfection, l'édification d'Akbou remonte à Mars 1883.
Selon l'historien Auguste Sabatier, Akbou est bâtie sur les ruines d'une ville romaine, engloutie depuis des lustres : Ausum, nom qui serait d'origine Kabyle, disent les anciens : Oussim.
Un autre historien, Sallustre, corrobore le fait et affirme l'existence d'une forteresse érigée au sommet du Piton, point stratégique de défense de l'ancienne ville, à Guendouza, qui est aujourd'hui, l'un des quartiers le plus peuplé d'Akbou.
Telle que nous la connaissons maintenant, Akbou fut créée en 1874, après la fin de la résistance de Cheikh El Moukrani en 1871 et après la conquête de la Kabylie.
Pour toute preuve, une bouteille cachant un parchemin relatant l'édification de la ville. Les français l'appelèrent '' Metz'', sous l'occupation, en raison du grand nombre de colons venus de la région française du même nom. L'implantation de Metz, à proximité d'une rivière, la Soummam, engendrera l'éclosion et la propagation de maladies comme la Malaria ou encore le Paludisme.
A cause de ce risque palustre, les habitants, colons et autochtones se replièrent sur les monts voisins. En 1883, Metz est remplacée par Kouba. La population opta plutôt pour un anagramme, ainsi Kouba devînt Akbou dont l'étymologie décrirait mieux la colline ou le mont. An 2000, Akbou est une ville de 55 000 habitants, avec une superficie de 52,18 km².
C'est un chef lieu de Daïra à 04 communes : Akbou, Chellata, Ighram et Tamoukra. Outre l'existence d'une zone éparse, la population se concentre en zones urbaines : Tifrit, Riquet et Azib qui sont des gros bourgs. Akbou est aussi une zone attractive pour les Daïra limitrophes des Wilaya de Tizi-Ouzou, Bordj-Bou-Arreridj et Sétif. Tous les services technico-administratifs sont représentés, Akbou ne cesse de s'étendre. Sa richesse est l'olivier.
Enfin, Akbou ne cesse d'étaler ses tentacules dans toutes les directions, non sans poser des problèmes d'un urbanisme effréné, parfois, au détriment de la salubrité environnementale. Les chemins vicinaux, les routes et autres voies d'accès sont un tissu maillé qui mène partout dans les grands quartiers à forte densité tels que le Stade, Arafou, Hira (l'un des plus anciens quartiers).
Les vestiges de l'ancienne caserne témoignent encore aujourd'hui du passage du colon, à ce propos, il faudra signaler le cimetière chrétien vers la sortie de la ville. L'exode rural a donné naissance à l'implantation de quartiers-villages comme Riquet et Taharachet.
Seule tâche encore présente aujourd'hui est le bidon-ville en plein centre d'Akbou qui défie narquoisement l'évolution '' urbanistique'' de la ville. La cité GMS, en expansion, efface peu à peu son image de laideur. Les projets ambitieux de l'Assemblée Populaire Communale sont en voie d'exécution.
Objectifs : Eradication de l'habitat précaire par 1000 logements sociaux, 300 évolutifs, 200 habitats ruraux qui sont inscrits dans les projets de développement économique et social. D'un autre côté, la montagne est prise d'assaut pour la construction de cités, à l'exemple de Sidi Ali Oucheddad.
Les autorités font passer le développement par un projet de jumelage entre Akbou et la ville d'Alès en France. Une manière comme une autre d'inviter deux pays à s'entraider après qu'ils s'aient fait la guerre. L'histoire a de ces rebondissements !
En attendant, les Akbouciens soutiennent mordicus qu'Akbou est l'une des plus anciennes communes de l'Algérie, l'une des plus vastes et plus peuplées. Pour eux, il tombe sous le sens qu'Akbou doit devenir Wilaya. Elle a tous les atouts pour.
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Selon l'historien Auguste Sabatier, Akbou est bâtie sur les ruines d'une ville romaine, engloutie depuis des lustres : Ausum, nom qui serait d'origine Kabyle, disent les anciens : Oussim.
Un autre historien, Sallustre, corrobore le fait et affirme l'existence d'une forteresse érigée au sommet du Piton, point stratégique de défense de l'ancienne ville, à Guendouza, qui est aujourd'hui, l'un des quartiers le plus peuplé d'Akbou.
Telle que nous la connaissons maintenant, Akbou fut créée en 1874, après la fin de la résistance de Cheikh El Moukrani en 1871 et après la conquête de la Kabylie.
Pour toute preuve, une bouteille cachant un parchemin relatant l'édification de la ville. Les français l'appelèrent '' Metz'', sous l'occupation, en raison du grand nombre de colons venus de la région française du même nom. L'implantation de Metz, à proximité d'une rivière, la Soummam, engendrera l'éclosion et la propagation de maladies comme la Malaria ou encore le Paludisme.
A cause de ce risque palustre, les habitants, colons et autochtones se replièrent sur les monts voisins. En 1883, Metz est remplacée par Kouba. La population opta plutôt pour un anagramme, ainsi Kouba devînt Akbou dont l'étymologie décrirait mieux la colline ou le mont. An 2000, Akbou est une ville de 55 000 habitants, avec une superficie de 52,18 km².
C'est un chef lieu de Daïra à 04 communes : Akbou, Chellata, Ighram et Tamoukra. Outre l'existence d'une zone éparse, la population se concentre en zones urbaines : Tifrit, Riquet et Azib qui sont des gros bourgs. Akbou est aussi une zone attractive pour les Daïra limitrophes des Wilaya de Tizi-Ouzou, Bordj-Bou-Arreridj et Sétif. Tous les services technico-administratifs sont représentés, Akbou ne cesse de s'étendre. Sa richesse est l'olivier.
Enfin, Akbou ne cesse d'étaler ses tentacules dans toutes les directions, non sans poser des problèmes d'un urbanisme effréné, parfois, au détriment de la salubrité environnementale. Les chemins vicinaux, les routes et autres voies d'accès sont un tissu maillé qui mène partout dans les grands quartiers à forte densité tels que le Stade, Arafou, Hira (l'un des plus anciens quartiers).
Les vestiges de l'ancienne caserne témoignent encore aujourd'hui du passage du colon, à ce propos, il faudra signaler le cimetière chrétien vers la sortie de la ville. L'exode rural a donné naissance à l'implantation de quartiers-villages comme Riquet et Taharachet.
Seule tâche encore présente aujourd'hui est le bidon-ville en plein centre d'Akbou qui défie narquoisement l'évolution '' urbanistique'' de la ville. La cité GMS, en expansion, efface peu à peu son image de laideur. Les projets ambitieux de l'Assemblée Populaire Communale sont en voie d'exécution.
Objectifs : Eradication de l'habitat précaire par 1000 logements sociaux, 300 évolutifs, 200 habitats ruraux qui sont inscrits dans les projets de développement économique et social. D'un autre côté, la montagne est prise d'assaut pour la construction de cités, à l'exemple de Sidi Ali Oucheddad.
Les autorités font passer le développement par un projet de jumelage entre Akbou et la ville d'Alès en France. Une manière comme une autre d'inviter deux pays à s'entraider après qu'ils s'aient fait la guerre. L'histoire a de ces rebondissements !
En attendant, les Akbouciens soutiennent mordicus qu'Akbou est l'une des plus anciennes communes de l'Algérie, l'une des plus vastes et plus peuplées. Pour eux, il tombe sous le sens qu'Akbou doit devenir Wilaya. Elle a tous les atouts pour.
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tatou- BILOUTE
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Date d'inscription : 02/02/2009
tatou- BILOUTE
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Date d'inscription : 02/02/2009
Re: la région de la kabylie.
ah cool nat akbou ou est née mon homme
le devant de l école est magnifique
et le paysage en hiver ses trop beau aussi merci
le devant de l école est magnifique
et le paysage en hiver ses trop beau aussi merci
Re: la région de la kabylie.
je veux aller a la plage mdrrrrrrrrrr
mumu- BILOUTE
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Localisation : la bazoge
Date d'inscription : 16/07/2008
Re: la région de la kabylie.
moi aussi j aimerais bien
par je suis dégoutter les photos sont couper pfffffffffffff
par je suis dégoutter les photos sont couper pfffffffffffff
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