actualités du jour
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Re: actualités du jour
ses kler je trouve sa abuser et vraiment du n importe quoi les gosses ses pas une vie pour eux et pour les parents cette décision n es vraiment pas intelligente
Re: actualités du jour
Fin de cavale des deux évadés de Moulins à Créteil, Khider grièvement blessé
La cavale des deux détenus évadés dimanche de la centrale de Moulins a pris fin mardi matin près de Créteil (Val-de-Marne) après une course poursuite et une fusillade avec la police, au cours de laquelle l'un d'eux a été grièvement blessé.
L'un d'eux, Christophe Khider, a voulu, selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur Gérard Gachet, faire usage de son arme, et a été grièvement blessé de deux balles dans le thorax lors d'un bref échange de coups de feu.
La cavale des deux détenus évadés dimanche de la centrale de Moulins a pris fin mardi matin près de Créteil (Val-de-Marne) après une course poursuite et une fusillade avec la police, au cours de laquelle l'un d'eux a été grièvement blessé.
L'un d'eux, Christophe Khider, a voulu, selon le porte-parole du ministère de l'Intérieur Gérard Gachet, faire usage de son arme, et a été grièvement blessé de deux balles dans le thorax lors d'un bref échange de coups de feu.
Re: actualités du jour
c est dommage d en arriver la valait mieux qu il purge sa peine!!!!
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
Guadeloupe: un homme tué par balle, plusieurs appels au calme
Un homme d'une cinquantaine d'années a été tué par une balle tirée "depuis un barrage tenu par des jeunes" dans la nuit de mardi à mercredi à Pointe-à-Pitre, a-t-on appris auprès de la cellule de crise de la préfecture de Guadeloupe, confirmant une information d'Europe 1.
La Guadeloupe a connu une nouvelle flambée de violence dans la nuit de mardi à mercredi, avec au moins trois policiers et trois gendarmes légèrement blessés par des tirs d'armes à feu alors que les affrontements entre jeunes et forces de l'ordre se multipliaient
Des magasins ont été pillés à Pointe-à-Pitre, principale agglomération, et dans d'autres localités, et des barrages, parfois enflammés avec de l'essence et des pneus, érigés dans les rues désertées par les habitants. Des affrontements se poursuivaient après 02H30 (07H30 à Paris), selon la préfecture
Re: actualités du jour
Cinq interpellations après la mort d'un policier abattu à La Courneuve
Cinq personnes ont été interpellées par la police tôt dimanche matin après la mort d'un policier, qui n'était pas en service, tué la veille à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) de deux balles dans la tête, vraisemblablement à la suite d'une rixe.
Selon la police, les cinq personnes ont été interpellées à La Courneuve dans un immeuble situé à proximité du lieu où s'est déroulé le drame samedi soir aux alentours de 21h30. L'arme du policier a été retrouvée dans le local à poubelles de cet immeuble, a ajouté la même source.
Une autre source policière a précisé que les interpellés, de jeunes majeurs, appartenaient à la communauté indo-pakistanaise. Ils étaient entendus dimanche dans les locaux de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris, Quai des Orfèvres.
"Je ne sais ni pourquoi, ni comment ce collègue s'est retrouvé là, peut-être a-t-il voulu porter assistance, mais on évacue totalement l'hypothèse d'un règlement de comptes", a ajouté M. Lagache.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris. "Toutes les hypothèses sont ouvertes: règlement de comptes, bagarres d'+après boire+, affaires financières", avait-on indiqué samedi soir de source policière.
Domicilié en Seine-et-Marne et père de deux enfants, le policier appartenait à la brigade de sûreté urbaine de Seine-Saint-Denis et travaillait au commissariat de la Courneuve.
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie s'est rendue sur place samedi soir. Elle est restée environ 30 minutes sur les lieux et n'a fait aucune déclaration.
Cinq personnes ont été interpellées par la police tôt dimanche matin après la mort d'un policier, qui n'était pas en service, tué la veille à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) de deux balles dans la tête, vraisemblablement à la suite d'une rixe.
Selon la police, les cinq personnes ont été interpellées à La Courneuve dans un immeuble situé à proximité du lieu où s'est déroulé le drame samedi soir aux alentours de 21h30. L'arme du policier a été retrouvée dans le local à poubelles de cet immeuble, a ajouté la même source.
Une autre source policière a précisé que les interpellés, de jeunes majeurs, appartenaient à la communauté indo-pakistanaise. Ils étaient entendus dimanche dans les locaux de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris, Quai des Orfèvres.
"Je ne sais ni pourquoi, ni comment ce collègue s'est retrouvé là, peut-être a-t-il voulu porter assistance, mais on évacue totalement l'hypothèse d'un règlement de comptes", a ajouté M. Lagache.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris. "Toutes les hypothèses sont ouvertes: règlement de comptes, bagarres d'+après boire+, affaires financières", avait-on indiqué samedi soir de source policière.
Domicilié en Seine-et-Marne et père de deux enfants, le policier appartenait à la brigade de sûreté urbaine de Seine-Saint-Denis et travaillait au commissariat de la Courneuve.
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie s'est rendue sur place samedi soir. Elle est restée environ 30 minutes sur les lieux et n'a fait aucune déclaration.
Re: actualités du jour
Guadeloupe: manifestations de soutien en métropole, Royal sur place
AFP - dimanche 22 février 2009, 00h11
A Paris et dans plusieurs villes de métropole, des milliers de personnes ont manifesté samedi leur solidarité "avec les mouvements initiés en Guadeloupe contre la vie chère" alors que la situation sur place, après un mois de blocage par la grève, était à l'accalmie.Les négociations entre le Collectif contre l'exploita...
AFP - dimanche 22 février 2009, 00h11
A Paris et dans plusieurs villes de métropole, des milliers de personnes ont manifesté samedi leur solidarité "avec les mouvements initiés en Guadeloupe contre la vie chère" alors que la situation sur place, après un mois de blocage par la grève, était à l'accalmie.Les négociations entre le Collectif contre l'exploita...
Attentat du Caire: trois suspects arrêtés
La police a arrêté trois hommes suspectés d'être impliqués dans l'attentat de dimanche au Caire qui a causé la mort d'une jeune française et blessé 25 touristes, selon une source de sécurité.
Les trois hommes, dont l'identité n'a pas été révélée, ont été interpellés près du lieu de l'attentat, juste après l'explosion d'un engin artisanal qui était placé, selon la police, sous un banc de la place al-Hussein, aux abords du souk touristique Khan al-Khalili au coeur du Caire historique.
"Trois hommes ont été arrêtés sur place après l'attaque, étant considérés comme des suspects. D'autres sont interrogés en tant que témoins", a indiqué cette source qui a requis l'anonymat.
Une adolescente de 17 ans a été tuée et 25 autres touristes, principalement des jeunes français, ont été blessés dans cet attentat qui n'a pas été revendiqué. La victime "était partie avec un groupe de jeunes de Levallois" près de Paris, selon le ministère français des Affaires étrangères.
Il s'agit de la première attaque terroriste contre des Occidentaux en Egypte depuis 2006.
Selon les services de sécurité cités par l'agence officielle Mena, une grenade, qui a explosé vers 18h50 locales (16h50 GMT) avait été placée dans un sac en plastique sous un banc en pierre de la place de la mosquée al-Hussein. Parmi les 25 blessés figurent 17 touristes français ainsi qu'un Allemand, trois Saoudiens et quatre Egyptiens.
Quatorze des blessés français ont pu quitter l'hôpital après avoir reçu des soins.
Les victimes françaises devaient être rapatriées sur Paris par avion dès lundi.
A Paris, le président Nicolas Sarkozy a fait part de sa "profonde émotion" et a transmis "ses condoléances à la famille de la victime et adressé un message de sympathie et de solidarité aux blessés et à leurs proches".
Le bazar de Khan al-Khalili, où convergent chaque jour des milliers de touristes, avait déjà été le théâtre d'un attentat en avril 2005, dans lequel deux touristes français et un Américain avaient été tués.
En avril 2006, un triple attentat avait frappé la station balnéaire de Dahab, dans la péninsule du Sinaï, où 20 personnes, dont six ressortissants étrangers, ont été tuées, en plus des trois kamikazes.
Deux autres grandes cités balnéaires du Sinaï, en bordure de la mer Rouge, avaient également été visées en 2004 et 2005: Taba (34 morts) et Charm el-Cheikh (70 morts).
Les autorités les avaient attribués à des bédouins islamistes, estimant qu'ils avaient eu des liens avec des islamistes palestiniens de la bande de Gaza.
Mais ces attentats ne semblaient pas reliés à la violence islamiste orchestrée par des groupes al-Jihad et al Gamaa al Islamiya qui avait provoqué la mort de 1.300 personnes dans les années 1990.
Cet attentat dans un lieu aussi symbolique que Khan al-Khalili pourrait peser lourdement sur le tourisme en Egypte, déjà touché par la crise économique.
Les trois hommes, dont l'identité n'a pas été révélée, ont été interpellés près du lieu de l'attentat, juste après l'explosion d'un engin artisanal qui était placé, selon la police, sous un banc de la place al-Hussein, aux abords du souk touristique Khan al-Khalili au coeur du Caire historique.
"Trois hommes ont été arrêtés sur place après l'attaque, étant considérés comme des suspects. D'autres sont interrogés en tant que témoins", a indiqué cette source qui a requis l'anonymat.
Une adolescente de 17 ans a été tuée et 25 autres touristes, principalement des jeunes français, ont été blessés dans cet attentat qui n'a pas été revendiqué. La victime "était partie avec un groupe de jeunes de Levallois" près de Paris, selon le ministère français des Affaires étrangères.
Il s'agit de la première attaque terroriste contre des Occidentaux en Egypte depuis 2006.
Selon les services de sécurité cités par l'agence officielle Mena, une grenade, qui a explosé vers 18h50 locales (16h50 GMT) avait été placée dans un sac en plastique sous un banc en pierre de la place de la mosquée al-Hussein. Parmi les 25 blessés figurent 17 touristes français ainsi qu'un Allemand, trois Saoudiens et quatre Egyptiens.
Quatorze des blessés français ont pu quitter l'hôpital après avoir reçu des soins.
Les victimes françaises devaient être rapatriées sur Paris par avion dès lundi.
A Paris, le président Nicolas Sarkozy a fait part de sa "profonde émotion" et a transmis "ses condoléances à la famille de la victime et adressé un message de sympathie et de solidarité aux blessés et à leurs proches".
Le bazar de Khan al-Khalili, où convergent chaque jour des milliers de touristes, avait déjà été le théâtre d'un attentat en avril 2005, dans lequel deux touristes français et un Américain avaient été tués.
En avril 2006, un triple attentat avait frappé la station balnéaire de Dahab, dans la péninsule du Sinaï, où 20 personnes, dont six ressortissants étrangers, ont été tuées, en plus des trois kamikazes.
Deux autres grandes cités balnéaires du Sinaï, en bordure de la mer Rouge, avaient également été visées en 2004 et 2005: Taba (34 morts) et Charm el-Cheikh (70 morts).
Les autorités les avaient attribués à des bédouins islamistes, estimant qu'ils avaient eu des liens avec des islamistes palestiniens de la bande de Gaza.
Mais ces attentats ne semblaient pas reliés à la violence islamiste orchestrée par des groupes al-Jihad et al Gamaa al Islamiya qui avait provoqué la mort de 1.300 personnes dans les années 1990.
Cet attentat dans un lieu aussi symbolique que Khan al-Khalili pourrait peser lourdement sur le tourisme en Egypte, déjà touché par la crise économique.
Re: actualités du jour
je viens d 'apprendre que un père de famille avait tuer ses 3 enfants de bas age a l arme blanche et a poignarder également sa femme qui elle est en vie mais hospitaliser .
il ses donner la mort a mettre le feu dans la maison apres
ses vraiment un truc de fou sa
il ses donner la mort a mettre le feu dans la maison apres
ses vraiment un truc de fou sa
Re: actualités du jour
Nous vivons sincerement dans un monde aujourd hui ou l incompréhension de certains faits nous depassent literalement ..................
Invité- Invité
Re: actualités du jour
ouais ses kler ses comme meme dingue ce truc des quil y a du nouveau sur cette affaire je vous tient au courant et vous de meme si vous en avez avant moi
Re: actualités du jour
ok annabelle
le moche de tout ca c est que la mere va vivre avec cette peine toute sa vie si elle survit
le moche de tout ca c est que la mere va vivre avec cette peine toute sa vie si elle survit
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
ok annabelle, comme tu dis ma poulette des moments bien difficiles deja mais elle va devoir vivre tout le reste de sa vie avec se malheur ..............
Invité- Invité
Re: actualités du jour
alors la un truc de fou les filles
vous aviez entendu qu une petite fillette avait était poignarder par son petit frere de 5 ans
et bien ses pas vrai
C’est désormais la mère de la fillette poignardée samedi à Uckange (Moselle), qui est soupçonnée de l'avoir blessée. La femme de 36 ans a été placée en garde-à-vue dans l'après-midi et elle a avoué le geste, d'après une source proche de l'enquête.
Les soupçons de la justice se sont portés sur la mère après qu'un chirurgien de l'hôpital pour enfants de Nancy-Brabois, où la fillette est hospitalisée depuis trois jours, eut conclu qu'«un enfant de 5 ans n'avait pas pu porter un coup d'une telle violence». C'est effectivement son frère qui avait été suspecté en premier lieu. Lundi, le petit frère de la fillette âgé de cinq ans avait en effet déclaré aux enquêteurs qu'il avait poignardé sa soeur parce qu'elle avait refusé de lui prêter sa console de jeux.
Le garçonnet avait ajouté qu'il pensait que le couteau dont il s'était servi «était un jouet» de dînette.
Les gendarmes ont perquisitionné mardi après-midi le domicile familial. Et ils ont trouvé des indices matériels qui les ont aiguillés vers la mère.
vous aviez entendu qu une petite fillette avait était poignarder par son petit frere de 5 ans
et bien ses pas vrai
C’est désormais la mère de la fillette poignardée samedi à Uckange (Moselle), qui est soupçonnée de l'avoir blessée. La femme de 36 ans a été placée en garde-à-vue dans l'après-midi et elle a avoué le geste, d'après une source proche de l'enquête.
Les soupçons de la justice se sont portés sur la mère après qu'un chirurgien de l'hôpital pour enfants de Nancy-Brabois, où la fillette est hospitalisée depuis trois jours, eut conclu qu'«un enfant de 5 ans n'avait pas pu porter un coup d'une telle violence». C'est effectivement son frère qui avait été suspecté en premier lieu. Lundi, le petit frère de la fillette âgé de cinq ans avait en effet déclaré aux enquêteurs qu'il avait poignardé sa soeur parce qu'elle avait refusé de lui prêter sa console de jeux.
Le garçonnet avait ajouté qu'il pensait que le couteau dont il s'était servi «était un jouet» de dînette.
Les gendarmes ont perquisitionné mardi après-midi le domicile familial. Et ils ont trouvé des indices matériels qui les ont aiguillés vers la mère.
Re: actualités du jour
oui j ai entendu cela, le plus malheureux c est que cette mere a du bourrer le crane du petit pour qu il dise cela, cela lui restera toute sa vie, pauvres enfants, on vit dans un monde de fou ..............
Invité- Invité
Re: actualités du jour
ses kler j attend la suite pour voir ce qui va se passez pour elle et les gosses pfff
Re: actualités du jour
Et oui c est bien la mere extenueux de son travail qui a porte le coup a sa puce, et qui a demande a son fiston de s accuser a sa place pour eviter la prison, aujourd hui sous les barreaux et les deux enfants places...................... Encore une famille detruite........
Invité- Invité
Re: actualités du jour
La visite de Nicolas Sarkozy au Mexique perturbée par l'affaire Cassez
Nicolas Sarkozy se rend dimanche à Mexico pour une courte visite initialement consacrée au seul renforcement de la coopération franco-mexicaine mais qui a pris un tour politique avec la lourde condamnation par la justice locale d'une Française qui clame son innocence.
Le couple présidentiel français devait arriver dès vendredi au Mexique pour un séjour privé.
Déjà reportés l'an dernier pour cause de préparation de la présidence européenne, les premiers pas de M. Sarkozy en Amérique latine hispanophone sont cette fois perturbés par la condamnation à 60 ans de prison de Florence Cassez, 34 ans, accusée d'être la complice d'un gang de kidnappeurs dans un pays où les enlèvements sont devenus un fléau et une "industrie".
Elle avait été arrêtée fin 2005 près de Mexico lors d'une descente de police très médiatisée alors qu'elle se trouvait avec son ex-compagnon, accusé de diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis de dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.
Malgré ses dénégations, Florence Cassez a été une première fois condamnée à 96 ans de prison en avril 2008. Sa culpabilité vient d'être confirmée en appel, même si sa peine a été ramenée à 60 ans.
Soutenus par des parlementaires, ses proches ont donc décidé d'en appeler à Nicolas Sarkozy qui, à la veille de sa visite d'Etat, est contraint de rejouer son rôle de "libérateur", étrenné avec les infirmières bulgares.
Le président a promis d'évoquer ce dossier jugé "extrêmement sensible" par l'Elysée avec son homologue Felipe Calderon mais, pour ne pas froisser "l'extrême sensibilité" et la "fierté" mexicaines, il semble privilégier un scénario "à la Tchadienne".
En clair, il s'agit de convaincre Florence Cassez de renoncer à son pourvoi en cassation pour obtenir son transfert vers la France pour y purger une peine "aménagée", comme ce fut le cas des six Français de l'association l'Arche de Zoé, condamnés au Tchad fin 2007 avant d'être rapatriés en France puis libérés après une grâce du président tchadien.
M. Calderon a ouvert la voie à cette solution en évoquant mercredi la "possibilité" d'un transfert en France de la prisonnière.
L'entourage de M. Sarkozy s'est réjoui de ce "geste courageux (...) qui montre qu'il souhaite trouver une solution", mais s'est gardé d'en dire plus. L'idée d'une visite de Carla Bruni-Sarkozy à la détenue, suggérée par sa famille, n'est "pas prévue", a ajouté l'Elysée assurant toutefois que le couple présidentiel fera "ce qui est utile à Florence".
En dépit de cette affaire délicate, M. Sarkozy souhaite surtout profiter de sa visite pour donner "un éclat majeur" aux relations entre les deux pays et combler leur "déficit de réalisations concrètes".
Sur le plan politique, leur "relation sans nuage" sera sanctifiée par une série d'accords de coopération sur la sécurité ou la santé, et une déclaration conjointe marquant leur "convergence forte" sur le réchauffement climatique, la réforme du G8 ou du Conseil de sécurité de l'ONU ou le futur G20.
Sur le front économique, M. Sarkozy sera accompagné d'un groupe de chefs d'entreprise avec l'ambition de renforcer la présence de la France sur le marché mexicain, où elle n'occupe que le 4e rang européen avec 1% du marché. Des contrats seront signés lundi par Sanofi-Aventis (usine de vaccins), Thalès (surveillance de Mexico) et EADS (hélicoptères militaires).
Et pour lancer une visite qui, a-t-il espéré, permettra de "catapulter" les relations bilatérales "à un niveau sans précédent", M. Calderon et son épouse accueilleront à partir de dimanche soir Nicolas et Carla Sarkozy pour une "rencontre privée" sans protocole.
Nicolas Sarkozy se rend dimanche à Mexico pour une courte visite initialement consacrée au seul renforcement de la coopération franco-mexicaine mais qui a pris un tour politique avec la lourde condamnation par la justice locale d'une Française qui clame son innocence.
Le couple présidentiel français devait arriver dès vendredi au Mexique pour un séjour privé.
Déjà reportés l'an dernier pour cause de préparation de la présidence européenne, les premiers pas de M. Sarkozy en Amérique latine hispanophone sont cette fois perturbés par la condamnation à 60 ans de prison de Florence Cassez, 34 ans, accusée d'être la complice d'un gang de kidnappeurs dans un pays où les enlèvements sont devenus un fléau et une "industrie".
Elle avait été arrêtée fin 2005 près de Mexico lors d'une descente de police très médiatisée alors qu'elle se trouvait avec son ex-compagnon, accusé de diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis de dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.
Malgré ses dénégations, Florence Cassez a été une première fois condamnée à 96 ans de prison en avril 2008. Sa culpabilité vient d'être confirmée en appel, même si sa peine a été ramenée à 60 ans.
Soutenus par des parlementaires, ses proches ont donc décidé d'en appeler à Nicolas Sarkozy qui, à la veille de sa visite d'Etat, est contraint de rejouer son rôle de "libérateur", étrenné avec les infirmières bulgares.
Le président a promis d'évoquer ce dossier jugé "extrêmement sensible" par l'Elysée avec son homologue Felipe Calderon mais, pour ne pas froisser "l'extrême sensibilité" et la "fierté" mexicaines, il semble privilégier un scénario "à la Tchadienne".
En clair, il s'agit de convaincre Florence Cassez de renoncer à son pourvoi en cassation pour obtenir son transfert vers la France pour y purger une peine "aménagée", comme ce fut le cas des six Français de l'association l'Arche de Zoé, condamnés au Tchad fin 2007 avant d'être rapatriés en France puis libérés après une grâce du président tchadien.
M. Calderon a ouvert la voie à cette solution en évoquant mercredi la "possibilité" d'un transfert en France de la prisonnière.
L'entourage de M. Sarkozy s'est réjoui de ce "geste courageux (...) qui montre qu'il souhaite trouver une solution", mais s'est gardé d'en dire plus. L'idée d'une visite de Carla Bruni-Sarkozy à la détenue, suggérée par sa famille, n'est "pas prévue", a ajouté l'Elysée assurant toutefois que le couple présidentiel fera "ce qui est utile à Florence".
En dépit de cette affaire délicate, M. Sarkozy souhaite surtout profiter de sa visite pour donner "un éclat majeur" aux relations entre les deux pays et combler leur "déficit de réalisations concrètes".
Sur le plan politique, leur "relation sans nuage" sera sanctifiée par une série d'accords de coopération sur la sécurité ou la santé, et une déclaration conjointe marquant leur "convergence forte" sur le réchauffement climatique, la réforme du G8 ou du Conseil de sécurité de l'ONU ou le futur G20.
Sur le front économique, M. Sarkozy sera accompagné d'un groupe de chefs d'entreprise avec l'ambition de renforcer la présence de la France sur le marché mexicain, où elle n'occupe que le 4e rang européen avec 1% du marché. Des contrats seront signés lundi par Sanofi-Aventis (usine de vaccins), Thalès (surveillance de Mexico) et EADS (hélicoptères militaires).
Et pour lancer une visite qui, a-t-il espéré, permettra de "catapulter" les relations bilatérales "à un niveau sans précédent", M. Calderon et son épouse accueilleront à partir de dimanche soir Nicolas et Carla Sarkozy pour une "rencontre privée" sans protocole.
Un forcené retranché à Paris tué lors d'un échange de tirs avec la police
Un forcené, retranché lundi dans son appartement du XIIIème arrondissement de Paris après avoir blessé une personne, est mort à la suite d'un échange de tirs avec la police, a-t-on appris de source policière.
En début de matinée l'homme âgé de 45 ans s'était retranché chez lui après avoir blessé par balle une personne sur la voie publique. Celle-ci, dont les jours ne sont pas en danger, a été conduite à l'hôpital, a-t-on précisé de même source. On ignorait si il existait un lien entre le tireur et la victime a-t-on également indiqué.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le tireur était suivi pour des problèmes psychiatriques et ne prenait plus ses médicaments depuis quelques temps.
Vers 11H00, après s'être retranché chez lui, il a ouvert sa porte et tiré en direction des policiers de la Brigade de recherche et d'intervention de la PJ parisienne qui a riposté. Un policier a été blessé à la main et souffrirait d'une fracture du poignet.
C'est à ce moment que la mère du forcené qu'il avait prise en otage en aurait profité pour s'enfuir avant que son fils ne referme sa porte.
Les policiers ont tenté d'entrer en contact avec lui mais il n'a pas répondu. Les policiers ont décidé de donner l'assaut vers 12H30, et ont découvert à l'intérieur de l'appartement le corps de l'homme, vraisemblablement décédé durant l'échange de coups de feu, a-t-on ajouté de source policière.
L'autopsie devrait toutefois permettre de savoir si le forcené est mort à la suite des tirs de riposte des policiers ou s'il a mis fin à ses jours avant l'assaut.
Des vérifications étaient en cours dans l'après-midi pour savoir pourquoi cet homme, qui avait une autorisation de détention d'arme, possédait un 357 Magnum dont il a fait usage.
Une résidente de l'immeuble, a été évacuée par les pompiers, a constaté un journaliste de l'AFP.
Un périmètre de sécurité établi dans la matinée a été levé vers 13H00 à l'exception des accès à l'immeuble et la circulation du métro, qui avait été interrompue, a été rétablie.
Re: actualités du jour
t a pas des choses plus gaies annabelle
mumu- BILOUTE
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Séquestration en Autriche :
L'homme âgé de 73 ans, a reconnu avoir enfermé sa fille pendant 24 ans dans sa cave et être le, père de ses sept enfants.
Josef Fritzl a bien abusé et séquestré sa propre fille pendant vingt-quatre ans. Le vieil homme, âgé de 73 ans, qui est en prison depuis samedi, a reconnu lundi tous les faits lors de son interrogatoire. C'est lui qui a enfermé Elisabeth Fritzl, âgée de 42 ans, dans la cave de la maison familiale à Amstetten en Basse-Autriche depuis 1984.L'ancien électricien a également admis avoir fait usage de violence contre Elizabeth, être le père de ses sept enfants et avoir rempli les fonctions de sage femme lors des accouchements. S'il confirme l'inceste, il récuse toutefois tout acte de violence. Les auditions de Josef Fritzl, qui sera être présenté au juge dans la soirée, doivent encore durer plusieurs jours.
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