actualités du jour
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Re: actualités du jour
que des paroles........
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
tt a fais vrai!!!!!!
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
sofane ce matin dans la salle d attente du doc ilprend un mùagasine et tous d un coup il tombe surune photo et la l me dit tout haut :
et maman ses sarko mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
les gens ont peter de rire
et maman ses sarko mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
les gens ont peter de rire
Re: actualités du jour
bah il le voit a la tele normal!
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
Perpétuité assortie de 22 ans de sûreté requise contre Colonna
La réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté incompressible de 22 ans : comme en première instance fin 2007, l'accusation a réclamé jeudi la peine maximale contre Yvan Colonna, "un homme sans honneur", "bourreau" du préfet de Corse Claude Erignac.
Après 04H20 de réquisitions prononcées par les avocats généraux Christophe Teissier et Jean-Claude Kross, les neuf magistrats de la cour d'assises de Paris, spécialisée dans les affaires de terrorisme, rendront leur verdict vendredi.
Le berger corse de 48 ans, qui avait été condamné en première instance à la perpétuité simple, n'a pas entendu la charge de l'accusation puisqu'il a maintenu, comme ses avocats, sa "politique du box vide", entamée le 11 mars quand la cour avait refusé une reconstitution des faits.
Cette absence "est la plus sournoise et la plus intolérable pression sur la justice dont Yvan Colonna est le maître d'oeuvre", a dénoncé l'avocat général Kross.
Le 6 février 1998 à Ajaccio, "on a tué un homme de chair et de sang, pas un symbole", a insisté le représentant de l'accusation pour lequel "Yvan Colonna est le tireur, l'exécuteur, le bourreau d'un serviteur de l'Etat", pris "dans la spirale folle du jusqu'au-boutisme intégriste".
"Nous ne sommes pas en mission pour la raison d'Etat (...). On ne nous a pas soufflé le nom d'Yvan Colonna. Si nous avions jusqu'à un doute infinitésimal de (sa) culpabilité, nous vous l'aurions dit", a insisté Jean-Claude Kross, répondant à l'accusé et ses avocats, qui dénoncent depuis le début du procès, le 9 février, un "simulacre" de justice rendue par des magistrats aux ordres et un président "partial".
Pour Christophe Teissier, l'objectif de la défense, qui "n'a eu de cesse de placer le débat sur le terrain politique", était de "discréditer" la cour afin que sa décision "apparaisse comme entachée d'un soupçon".
"Il fallait de manière subliminale faire entrer dans l'esprit des citoyens (...) les mots +tricheur+, +faussaire+, +justice birmane+" lancés à la tête du président Didier Wacogne, a renchéri M. Kross, accusant la défense d'avoir mené une politique "médiatique" et fui "le débat sur le fond".
A l'issue d'un procès émaillé d'incidents et d'éclats de voix jusqu'au départ de l'accusé, l'avocat général a dénoncé "la chronique d'une désertion annoncée pour être ensuite exploitée politiquement".
De fait, les avocats d'Yvan Colonna ont déjà expliqué qu'ils en appelaient désormais à l'opinion publique. Ils ont d'ailleurs prévu une conférence de presse sitôt le verdict rendu.
Pour l'accusation, les rétractations des autres membres du commando d'assassins, qui avaient d'abord mis en cause le berger de Cargèse avant de le disculper plusieurs mois plus tard, ne sont "pas crédibles". Pas plus que l'aveu tardif d'un des conjurés, condamnés en 2003, d'avoir tenu l'arme du crime.
Car pour le ministère public, c'est Yvan Colonna qui a tué le préfet de trois balles dans la nuque, ce qui justifierait d'assortir la perpétuité d'une peine de sûreté de 22 ans, à laquelle ont échappé les autres.
En première instance, la cour n'avait pas suivi l'accusation sur ce point, ne votant pas les 22 ans de sûreté, pendant lesquels aucune libération conditionnelle n'est possible.
Vendredi matin, faute de plaidoiries de la défense et, sauf coup de théâtre, de dernière parole de l'accusé, la cour se retirera pour délibérer et rendre un verdict attendu en fin de journée.
Les neuf juges devront prendre leur décision à bulletins secrets, à la majorité simple soit au moins cinq voix.
La réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté incompressible de 22 ans : comme en première instance fin 2007, l'accusation a réclamé jeudi la peine maximale contre Yvan Colonna, "un homme sans honneur", "bourreau" du préfet de Corse Claude Erignac.
Après 04H20 de réquisitions prononcées par les avocats généraux Christophe Teissier et Jean-Claude Kross, les neuf magistrats de la cour d'assises de Paris, spécialisée dans les affaires de terrorisme, rendront leur verdict vendredi.
Le berger corse de 48 ans, qui avait été condamné en première instance à la perpétuité simple, n'a pas entendu la charge de l'accusation puisqu'il a maintenu, comme ses avocats, sa "politique du box vide", entamée le 11 mars quand la cour avait refusé une reconstitution des faits.
Cette absence "est la plus sournoise et la plus intolérable pression sur la justice dont Yvan Colonna est le maître d'oeuvre", a dénoncé l'avocat général Kross.
Le 6 février 1998 à Ajaccio, "on a tué un homme de chair et de sang, pas un symbole", a insisté le représentant de l'accusation pour lequel "Yvan Colonna est le tireur, l'exécuteur, le bourreau d'un serviteur de l'Etat", pris "dans la spirale folle du jusqu'au-boutisme intégriste".
"Nous ne sommes pas en mission pour la raison d'Etat (...). On ne nous a pas soufflé le nom d'Yvan Colonna. Si nous avions jusqu'à un doute infinitésimal de (sa) culpabilité, nous vous l'aurions dit", a insisté Jean-Claude Kross, répondant à l'accusé et ses avocats, qui dénoncent depuis le début du procès, le 9 février, un "simulacre" de justice rendue par des magistrats aux ordres et un président "partial".
Pour Christophe Teissier, l'objectif de la défense, qui "n'a eu de cesse de placer le débat sur le terrain politique", était de "discréditer" la cour afin que sa décision "apparaisse comme entachée d'un soupçon".
"Il fallait de manière subliminale faire entrer dans l'esprit des citoyens (...) les mots +tricheur+, +faussaire+, +justice birmane+" lancés à la tête du président Didier Wacogne, a renchéri M. Kross, accusant la défense d'avoir mené une politique "médiatique" et fui "le débat sur le fond".
A l'issue d'un procès émaillé d'incidents et d'éclats de voix jusqu'au départ de l'accusé, l'avocat général a dénoncé "la chronique d'une désertion annoncée pour être ensuite exploitée politiquement".
De fait, les avocats d'Yvan Colonna ont déjà expliqué qu'ils en appelaient désormais à l'opinion publique. Ils ont d'ailleurs prévu une conférence de presse sitôt le verdict rendu.
Pour l'accusation, les rétractations des autres membres du commando d'assassins, qui avaient d'abord mis en cause le berger de Cargèse avant de le disculper plusieurs mois plus tard, ne sont "pas crédibles". Pas plus que l'aveu tardif d'un des conjurés, condamnés en 2003, d'avoir tenu l'arme du crime.
Car pour le ministère public, c'est Yvan Colonna qui a tué le préfet de trois balles dans la nuque, ce qui justifierait d'assortir la perpétuité d'une peine de sûreté de 22 ans, à laquelle ont échappé les autres.
En première instance, la cour n'avait pas suivi l'accusation sur ce point, ne votant pas les 22 ans de sûreté, pendant lesquels aucune libération conditionnelle n'est possible.
Vendredi matin, faute de plaidoiries de la défense et, sauf coup de théâtre, de dernière parole de l'accusé, la cour se retirera pour délibérer et rendre un verdict attendu en fin de journée.
Les neuf juges devront prendre leur décision à bulletins secrets, à la majorité simple soit au moins cinq voix.
Re: actualités du jour
Une fillette échappe à un enlèvement grâce à ses camarades de classe
Une fillette de 7 ans, Manon, a échappé à un enlèvement tenté par un inconnu sur le terrain de sport de son école à Plaisir (Yvelines) grâce à ses camarades de classe qui, à coups de pieds et à force de cris, ont mis en fuite l'agresseur.
Vendredi 20 mars, Manon est abordée par un homme, lui proposant de le suivre en échange de bonbons, au moment où elle participe à une course d'orientation sur le plateau sportif municipal qui fait partie du groupe scolaire de la Haise. La fillette refuse mais l'homme tente de la traîner de force vers son véhicule. Un camarade de classe, Valentin, âgé de 8 ans, accourt et donne "des coups de pieds et de poings" à l'agresseur, selon la police. "Il lui fait un croche-pied", a précisé la commissaire Héloïse Gresy.
D'une petite voix fluette, la jeune Chaïma, 7 ans, a raconté la scène à une journaliste de France Bleu Ile-de-France: "le monsieur, il a essayé d'attrapper Manon. Valentin, il a dit +cours, cours Manon!+ et il a fait un croche-patte au monsieur. Il a vu qu'il y avait beaucoup d'enfants donc il s'est enfui".
Les camarades de la fillette "ont super bien réagi", s'est réjouie la directrice de l'école Catherine Verdier. "Nous avons dans cette école une politique de solidarité et d'entraide, notamment grâce à notre classe d'intégration", explique-t-elle.
Bien plus que d'apprendre aux enfants à ne pas suivre des inconnus, l'école leur a appris que "dès qu'il y a un problème, il faut alerter".
L'après-midi même, la directrice a d'ailleurs réuni l'ensemble des enfants sous le préau pour les informer de ce qui s'était passé et saluer la réaction des enfants. Lundi, tout était rentré dans l'ordre. Manon et ses camarades sont revenus en classe où "ils parlent facilement de ce qui s'est passé", selon la directrice. La psychologue scolaire restait à disposition.
"L'homme est parti dans un cabriolet foncé, c'est tout ce que l'on sait", selon la commissaire Grésy. Le commissariat de Plaisir a lancé un appel à témoin pour "un homme de type européen, de corpulence normale, d'environ 1,70m, cheveux gris blanc avec des moustaches et un petit bouc. Il portait un chapeau blanc, un haut gris et un pantalon bleu".
"Le plateau sportif où se trouvaient les enfants fait partie du groupe scolaire de la Haise mais, contrairement aux écoles, il est ouvert à tous. Il y a souvent des gens qui y viennent", a expliqué la directrice de l'école Catherine Verdier.
"Les enfants étaient accompagnés de deux adultes comme c'est la règle en cas de sortie", a-t-elle souligné. Dans le groupe scolaire, "seuls les pompiers peuvent circuler en voiture" et "le plateau sportif, encadré de grillage, est accessible à pied", selon elle.
Le maire de la commune, Joël Regnault (UMP), a indiqué dans un communiqué que le dispositif de sécurité général avait été renforcé durant les temps scolaires et périscolaire (le midi et dans les centres de loisirs avant et après l'école).
Il a appelé à "ne pas céder à la panique et à l'amalgame dans ce climat sensible qui fait écho à une actualité nationale déjà brûlante".
Pour sa part, le rectorat de Versailles a souligné qu'il dispense des formations avec l'éducation nationale pour apprendre aux enfants "à dire non" à un inconnu. "L'objectif est que les enfants apprennent à dire non à un inconnu qui propose un bonbon, un gâteau ou qui demande de le suivre" a expliqué Jean Xavier Moreau chef de cabinet du recteur de Versailles.
Une fillette de 7 ans, Manon, a échappé à un enlèvement tenté par un inconnu sur le terrain de sport de son école à Plaisir (Yvelines) grâce à ses camarades de classe qui, à coups de pieds et à force de cris, ont mis en fuite l'agresseur.
Vendredi 20 mars, Manon est abordée par un homme, lui proposant de le suivre en échange de bonbons, au moment où elle participe à une course d'orientation sur le plateau sportif municipal qui fait partie du groupe scolaire de la Haise. La fillette refuse mais l'homme tente de la traîner de force vers son véhicule. Un camarade de classe, Valentin, âgé de 8 ans, accourt et donne "des coups de pieds et de poings" à l'agresseur, selon la police. "Il lui fait un croche-pied", a précisé la commissaire Héloïse Gresy.
D'une petite voix fluette, la jeune Chaïma, 7 ans, a raconté la scène à une journaliste de France Bleu Ile-de-France: "le monsieur, il a essayé d'attrapper Manon. Valentin, il a dit +cours, cours Manon!+ et il a fait un croche-patte au monsieur. Il a vu qu'il y avait beaucoup d'enfants donc il s'est enfui".
Les camarades de la fillette "ont super bien réagi", s'est réjouie la directrice de l'école Catherine Verdier. "Nous avons dans cette école une politique de solidarité et d'entraide, notamment grâce à notre classe d'intégration", explique-t-elle.
Bien plus que d'apprendre aux enfants à ne pas suivre des inconnus, l'école leur a appris que "dès qu'il y a un problème, il faut alerter".
L'après-midi même, la directrice a d'ailleurs réuni l'ensemble des enfants sous le préau pour les informer de ce qui s'était passé et saluer la réaction des enfants. Lundi, tout était rentré dans l'ordre. Manon et ses camarades sont revenus en classe où "ils parlent facilement de ce qui s'est passé", selon la directrice. La psychologue scolaire restait à disposition.
"L'homme est parti dans un cabriolet foncé, c'est tout ce que l'on sait", selon la commissaire Grésy. Le commissariat de Plaisir a lancé un appel à témoin pour "un homme de type européen, de corpulence normale, d'environ 1,70m, cheveux gris blanc avec des moustaches et un petit bouc. Il portait un chapeau blanc, un haut gris et un pantalon bleu".
"Le plateau sportif où se trouvaient les enfants fait partie du groupe scolaire de la Haise mais, contrairement aux écoles, il est ouvert à tous. Il y a souvent des gens qui y viennent", a expliqué la directrice de l'école Catherine Verdier.
"Les enfants étaient accompagnés de deux adultes comme c'est la règle en cas de sortie", a-t-elle souligné. Dans le groupe scolaire, "seuls les pompiers peuvent circuler en voiture" et "le plateau sportif, encadré de grillage, est accessible à pied", selon elle.
Le maire de la commune, Joël Regnault (UMP), a indiqué dans un communiqué que le dispositif de sécurité général avait été renforcé durant les temps scolaires et périscolaire (le midi et dans les centres de loisirs avant et après l'école).
Il a appelé à "ne pas céder à la panique et à l'amalgame dans ce climat sensible qui fait écho à une actualité nationale déjà brûlante".
Pour sa part, le rectorat de Versailles a souligné qu'il dispense des formations avec l'éducation nationale pour apprendre aux enfants "à dire non" à un inconnu. "L'objectif est que les enfants apprennent à dire non à un inconnu qui propose un bonbon, un gâteau ou qui demande de le suivre" a expliqué Jean Xavier Moreau chef de cabinet du recteur de Versailles.
Re: actualités du jour
ces dingue sa
moi sais pour sa que j ai trop les boules d arrivé en retard a l école de ma fille
moi sais pour sa que j ai trop les boules d arrivé en retard a l école de ma fille
Re: actualités du jour
moi aussi j ai suivi et ja i trouve les enfants courageux
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
par contre mumu change de mot anna n a pas encore son dico mdrrrrrrrrrrrr
Invité- Invité
Re: actualités du jour
mdrrr ma poule
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
moi aussi je peux faire pareil
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
qd on a que ca a faire mdrrrr
mumu- BILOUTE
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Re: actualités du jour
La France va accueillir un détenu de Guantanamo
Le président français Nicolas Sarkozy a annoncé vendredi que la France allait accueillir un détenu de Guantanamo après la décision du président américain Barack Obama de fermer cette prison d'ici fin janvier 2010.
Interrogé sur Guantanamo et l'accueil éventuel par la France d'un détenu, M. Sarkozy a déclaré: "la France n'a qu'une parole. Oui, on en a parlé, oui on s'est mis d'accord et oui, c'est logique et cohérent" d'accueillir un détenu de Guantanamo
"Guantanamo, c'était pas conforme aux valeurs des Etats-Unis, en tout cas à l'idée que je m'en fais", a dit le président français lors d'une conférence de presse commune, à Strasbourg (France) à l'issue d'un entretien avec Barack Obama.
Si Washington demande à ses alliés de prendre des détenus, "parce que cela permet de fermer le camp (de Guantanamo) alors si on est cohérent, on dit oui", a déclaré le président. "En l'occurrence il y en a un" qui serait concerné par une décision "pour le mettre en prison ici" en France, a-t-il ajouté, sans nommer le détenu.
"On ne combat pas le terrorisme avec les méthodes de terroristes, on les combat avec les méthodes de la démocratie. On ne peut pas condamner les Etats-Unis parce qu'ils ont ce camp et s'en laver les mains une fois qu'ils le font", a souligné Nicolas Sarkozy.
Selon des sources concordantes, deux détenus algériens ont été blanchis par la justice américaine et sont "libérables" depuis fin novembre. Il s'agit de Lakhdar Boumediene, 42 ans, en grève de la faim depuis plus de deux ans - et alimenté de force selon l'organisation Amnesty International - et de Saber Lahmar, 39 ans.
Selon un responsable américain, la France examine la possibilité d'accueillir un ancien détenu algérien de Guantanamo, en raison "des liens historiques entre la France et l'Algérie".
Re: actualités du jour
Rencontre sur internet: 3 ans de prison pour un pédophile à La Rochelle
Un pédophile récidiviste qui avait séduit sous une fausse identité une adolescente de 16 ans originaire des Vosges via internet, l'incitant à le rejoindre à La Rochelle, a été condamné à trois ans de prison ferme, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Le tribunal correctionnel de La Rochelle a en outre assorti sa condamnation, prononcée jeudi pour soustraction de mineur et agression sexuelle, d'une obligation de suivi socio-judiciaire -sous peine de trois ans de prison supplémentaires- et d'une injonction de soins.
Fabrice Huljack, un chauffeur-livreur de 44 ans, avait déjà été condamné en 2005 à 18 mois de prison ferme pour des faits similaires.
L'homme avait été interpellé en août 2007 sur le parking d'un hôtel à Angoulins (Charente-Maritime), près de La Rochelle, où il se trouvait en compagnie de la jeune fille de 16 ans, qui avait disparu du domicile familial à Saint-Dié-des-Vosges (Vosges).
Il avait séduit la jeune fille depuis des cybercafés, sur un site de messagerie instantanée, en se faisant passer pour un gendarme de 19 ans prénommé Mickaël.
L'adolescente, annonçant à ses parents qu'elle allait passer un week-end chez une amie, s'était rendue en train à Poitiers, à 800 km, pour rejoindre l'imposteur dont elle était "tombée amoureuse par internet".
Surprise de trouver un quadragénaire à la sortie du train, elle s'était laissée piéger par un nouveau mensonge, ce dernier se présentant comme un ami de Mickaël.
Fabrice Huljack a un casier judiciaire fourni avec 17 condamnations pour des vols et des escroqueries.
Il devrait de nouveau comparaître au tribunal de La Rochelle dans le cadre d'une affaire similaire: en novembre 2008, il avait rencontré sur internet une jeune fille de 14 ans ayant fugué pendant cinq jours pour le retrouver.
Re: actualités du jour
Madonna se voit refuser sa seconde demande d'adoption au Malawi
La pop-star américaine Madonna s'est vu refuser vendredi par un tribunal du Malawi le droit d'adopter une petite orpheline de trois ans de ce pays pauvre d'Afrique australe, où une première adoption de la chanteuse avait déjà provoqué une vive polémique.
"Je dois rejeter la demande de Madonna", a déclaré la juge Esmie Chondo, en expliquant que la fillette, Chifundo James, ne vivait "plus dans la pauvreté depuis son admission à l'orphelinat de Kondanani" (sud).
Madonna, absente à l'audience devant le tribunal de Lilongwe, et son avocat, qui a évité la presse, n'ont pas commenté cette décision de justice.
La juge a également motivé sa décision par le risque de favoriser le trafic d'enfants si la justice ouvrait avec ce précédent la porte aux adoptions internationales sans respecter la procédure.
"Il serait tentant d'abandonner toute prudence et d'autoriser l'adoption dans l'espoir de changer la vie d'un seul enfant", a-t-elle dit, avant d'ajouter: "mais, en ôtant toute protection pour nos enfants, les tribunaux pourraient favoriser le trafic de mineurs par certains individus peu scrupuleux, qui profiteraient de la faiblesse de la loi."
Pour adopter un mineur, les lois du Malawi sont très strictes et les étrangers doivent, comme principale condition, rester 18 mois dans ce pays. "Cette question de résidence constitue un réel garde-fou dans les procédures d'adoption. Cela ne doit en conséquence pas être modifié", a statué la juge.
Seule Madonna a fait exception à cette règle en adoptant David Banda, rencontré en 2006 lors de sa première visite dans ce pays pauvre d'Afrique australe. Elle avait alors été accusée par de nombreuses associations de s'être servie de sa célébrité et de sa richesse pour accélérer cette procédure.
La chanteuse la mieux payée au monde avait en effet obtenu immédiatement la garde de l'enfant pour 18 mois et avait quitté le pays avec lui. En mai 2008, elle avait pu l'adopter de plein droit avec l'accord du père biologique.
M. Banda, qui avait expliqué vouloir éviter à son fils de vivre dans la misère, a revu le garçon pour la première fois cette semaine.
Parallèlement à cette première adoption, Madonna s'est investie dans le domaine humanitaire. Elle a créé une fondation "Raising Malawi" pour venir en aide aux enfants du pays, durement frappé par le sida, et finance un orphelinat.
Le tribunal de Lilongwe a loué ces actions et l'a enjointe à continuer d'aider les enfants du Malawi, où plus de la moitié des 12 millions d'habitants vivent avec moins d'un dollar par jour.
"Sans aucun doute, il reste de l'espoir grâce à ces projets pour améliorer la vie des enfants au Malawi", a estimé Mme Chondo. "C'est mon souhait que Chifundo James soit la première à en bénéficier."
La pop-star de 50 ans, tout juste divorcée du réalisateur britannique Guy Ritchie, avait déposé lundi devant le tribunal une demande d'adoption pour la jeune Chifundo (qui signifie Grâce), rencontrée en octobre 2006 dans un foyer pour orphelins de victimes du sida.
La fillette, née le 22 janvier 2006, avait été placée dans cette institution après la mort de sa mère. Sa demande d'adoption avait, comme pour le petit David, provoqué la colère des ONG locales et internationales.
Outre son fils adoptif, la chanteuse a déjà un fils, Rocco (8 ans), avec Guy Ritchie et une fille, Lourdes (12 ans), avec son entraîneur sportif Carlos Leon.
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